« J’apprécie la reprise d’une vie sociale »

Publié le 19 décembre 2014 | Dernière mise à jour le 18 décembre 2014


Après une période d’inactivité d’un an, Véronique a signé un CUI-CAE(1) en tant que préparatrice en pharmacie au sein de l’Ehpad des Sablons, près d’Orléans. Un emploi qui correspond parfaitement à ses attentes. Environnement professionnel de qualité, poste à temps partiel : tous ses critères de recherches étaient réunis !

C’est pour suivre son mari, qui a accepté un nouvel emploi en région orléanaise, que Véronique Buffard, 40 ans, est arrivée à Chécy en juin 2013, date à laquelle elle a entamé sa recherche d’emploi en tant que préparatrice en pharmacie. Un emploi qu’elle avait exercé durant de nombreuses années en région parisienne, à la fois en officine et en milieu hospitalier.

« J’ai mis assez longtemps à retrouver un emploi, car je ne souhaitais pas travailler à temps complet et je cherchais également à évoluer ailleurs qu’en officine », raconte Véronique.

Avant de devenir préparatrice en pharmacie, la jeune femme a d’abord effectué un DEUG d’AES (administration, économique et social), suite auquel elle a choisi de se réorienter vers son métier actuel, en suivant un CAP puis un brevet professionnel.

Au sein de l’Ehpad (2), où elle a signé un CUI – CAE (1) de 12 mois d’une durée hebdomadaire de 20 h, elle est chargée de la distribution journalière des médicaments destinés aux résidents. « Ce domaine d’activité me convient parfaitement, et je me plais dans cette petite structure. L’entente est bonne au sein de l’équipe », affirme Véronique, qui apprécie aussi « la reprise d’une vie sociale », après un peu plus d’un an sans travailler. « Et je recherchais un contrat à temps partiel, mon mari étant souvent en déplacement à l’étranger : pour moi, c’est l’idéal ! ».

C’est pour développer cette nouvelle activité de distribution de médicaments que l’Ehpad des Sablons de Chécy, à l’ouest d’Orléans, a décidé de créer l’emploi de Véronique et choisi d’avoir recours à un CUI-CAE. « Je pense que sans ce type de contrat, l’établissement n’aurait pas pu proposer ce nouveau service », estime la salariée. « Cela leur permet de voir si l’activité apporte un plus et si elle pourra être pérennisée, sans prise de risques ».

(1) : Contrat unique d’insertion – contrat d’accompagnement dans l’emploi
(2) : Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes

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